A la recherche du Domaine.

Une fois du plus je n'avais écouté personne. A la nuit tombée, j'avais scellé Tempête et était partie au grand galop ; pour cause, le domaine avait de gros soucis finanicers et je me devais de les régler. Je ne connaissais pas le chemin exact de ma destination, mais étant assez débroulliarde, je m'étais dit que cela ne me poserais aucun problème. Je chevauchai donc durant trois jours, ne m'arrêtant que quelques heures la nuit pour dormir et me renseigner sur l'évolution de Rivombrosa ; après tout, je n'étais venue ici qu'une seule fois, avec mon père, et cela remontait à 5 ans.
A présent, je me trouvais dans la forêt du domaine, d'après mes informateurs. La chaleur du soleil était douce et agréable, et pas un seul nuage ne pointait à l'horizon. Ma jument, pour la première fois, était demeurée fort calme et obeïssante ; elle avait certainement compris que mon humeur n'était guère à la plaisanterie. Et c'était vrai, j'étais plus qu'inquiète. Je ne connaissais aucunement la famille Ristori, et, par expérience, je craignais qu'il me refuse mon dû. Je chassai immédiatement cette pensée de mon esprit pour me concentrer sur la direction à emprunter ; j'étais arrivé à une branche. Soit la droite, soit la gauche. Mais quel couloir choisir ? C'est alors que je vis sur le sentier est une jeune fille vêtue d'une tunique blanche et bleue. Certainement une domestique, pensais-je en voyant son panier. Et je décidai de l'aborder.

- Bonjour, madame. Je me nomme Cassandra et je souhaite me rendre au Palais Ristori. Demandais-je en souriant, pourriez-vous m'indiquer le chemin s'il vous plait ?

La jeune fille leva les yeux pour croiser mon regard tout en acquiesçant.

- Vous devez prendre à gauche et continuer tout droit. Vous arriverez devant le palais.

- Merci.

Et je repris le galop.

Quelques minutes plus tard, je débouchai sur un grand espace, au centre duquelle se trouvait une grande fontaine, entourée d'un cercle de pelouse verdoyante ; illuminée par les rayons du soleil. Je mis pied à terre et m'avança lentement vers l'entrée de la demeure. Il y avait là plusieurs domestiques ; certains riaient, d'autres étaient à la tâche. Cela me rassura et je soufflai intérieurement. Des domestiques riants ne pouvaient être sous les ordres de tyrans.

Un valet d'écurie prit l'une des rennes de tempête, et un second m'accosta d'un air sévère :

- Madame ... Puis-je vous aider ?
- Je cherche la Comtesse Agnès Ristori.

L'homme souleva un sourcil.

- Je suis la Comtesse Cassandra Ravaschieri. La fille d'un ancien ami.

Il marqua un temps de pause avant de continuer.

- Il est impossible que je vous présente à la Comtesse.

- Monsieur, c'est important. N'y a-t-il personne d'autre à qui je pourrais m'adresser ?

Le vieil homme balya le sol du regard ; il semblait réflèchir.

- Attendez-moi ici, je vais aller voir si la Comtesse Elisa Ristori est disponible.

Elisa était en train de discuter avec Marilena, lui proposant de se promener dans les jardins, pour patienter.

Quand Justin vena à sa rencontre.

"Qu'y a t-il Justin, tu m'as l'air essoufflée?"

"Madame la Comtesse, c'est que vous avez encore de la visite, une certaine Comtesse Cassandra Ravaschieri. Elle voulait d'abord voir la Comtesse Agnès mais je lui ai dis que ce n'était pas possible, alors elle m'a demandé à rencontrer quelqu'un d'autre alors j'ai pensé à vous."

"Tu as trés bien fais Justin, retourne l'a voir et dis lui que j'arrive dans quelques minutes."
Fais l'a patienter dans l'entrée.

"Venez avec moi Marilena, je vous accompagne au salon de jardin et je vous y rejoindrais aprés avoir rencontré cette personne."

Elisa accompagna Marilena dehors, au salon et revînt sur ces pas, rencontrer la Comtesse qu'elle ne connaissait pas mais qu'elle devait rencontrer.
Elle vît une ravissante jeune femme, bmlonde, trés élégante, sûrement du même âge qu'elle.

"Bonjour Mademoiselle, je suis la Comtesse Elisa Ristori, épouse du Comte Ristori, que puis_je pour vous?"

Le vieil homme tourna les talons, et disparut dans la palais d'un pas pressé.

Je n'attendis guère longtemps - quelques minutes, tout plus - avant qu'une jeune femme, assez élégante, ne m'aborde.

"Bonjour Mademoiselle, je suis la Comtesse Elisa Ristori, épouse du Comte Ristori, que puis-je pour vous? me dit-elle en souriant. "

Je la détallai rapidement du coin de l'oeil. Elle était un peu plus petite que moi, et avait de très beaux cheveux bouclés. Elle ne devait pas être tellement plus âgée que moi. En outre, je trouvai sa robe très belle.

" Bonjour, répondis-je amicalement, oui, peut-être pourriez-vous m'aider. Je me nomme Cassandra Ravaschieri, je suis la fille du Comte Alessandro Ravaschieri. J'aurais besoin de parler de toute urgence au Comte Ristori ou à son épouse, la Comtesse Agnès. "

Je m'interrompis soudainement. Dans mon élan, je faillis soudainement raconter l'histoire entière. Certes, cette dame parraissait fort charmante, mais je préfèrai garder mes distances.

" L'on m'a certifiée que je ne pouvais voir ni l'un ni l'autre. Pouvez-vous me dire la cause de ce refus ? "

Elisa trouvait cette demoiselle fort ravissante, elle adorait sa couleur de cheveux qui lui rappelait les rayons du soleil.


"Enchantée Mademoiselle Ravaschieri.
Votre nom de famille ne me dis rien, vous êtes de Turin? ou Naples peut-être?
On vous a en effet bien informé, il vous est impossible de parler au Comte Ristori car celui-ci est décédé il y a de cela quelques années, quant à son épouse, ma belle-mère, est désomrais trop peu en bonne santé pour recevoir le monde et gérer les affaires du domaine.
Aujourd'hui, c'est mon époux qui gère le domaine.
Malheureusement pour vous, mon mari est déjà trés occupé, mais il ne devrait plus en avoir pour trés longtemps, je vais vous faire ammener à son bureau, où il vous rejoindra dés qu'il aura terminé."

Elisa se demandait qui elle pouvait être et que pouvait-elle vouloir à son époux.
Elle en était même perplexe et avait toujours peur que ce soient encore des soucis.

Marilena se promenait dans le parc en compagnie d'Elisa quand elle vit au loin une jeune femme qui s'approchait de la demeure. Plus elle s'approchait plus il lui semblai que son visage ne lui était pas inconnu.... Qui était-elle et où l'avait-elle déjà vu? Tot à coup, elle se souvint l'avoir croisée dans les rues de Venise lors de son séjour et peut être même dans une de ces soirées où sa mère tenait absolument à l'emmener pour lui présenter des prétendants...
-
Elisa avait l'air surprise de voir cette jeune femme et ne semblait pas la connaître ....
- " Chère Comtesse Ristori, connaissez vous cette jeune fille qui a l'air un peu perdue dnas votre domaine?"

Elisa lui répondit par la négative et alla à la rencontre de la jeune femme blonde, Marilena se tint en retrait comme le voulaiient les conventions même si sa curisité était aux aguets....

La Comtesse commençait à me plaire. Peut-etre était-ce le ton si frais de sa voir, ou bien la gentillesse qui se dégageait de son etre. Je l'écoutais attentivement en hochant la tete ; la mort du Comte ne me fit pas grand chose : cet homme m'était totalement inconnu. Par contre, le fait de ne pas pouvoir rencontrer La Comtesse me peina ; je me souvins de sa tendresse envers moi lors des visites de mon père ; c'était toujours elle qui me prenait en charge quand celui-ci et son époux discutaient affaires. Je souris intérieurement à cette pensée ; dans un sens, le comtesse me rapelait ma défunte mère.

" Malheureusement pour vous, mon mari est déjà trés occupé, mais il ne devrait plus en avoir pour trés longtemps, je vais vous faire ammener à son bureau, où il vous rejoindra dés qu'il aura terminé."

Je hochai la tete. La Comtesse fit signe à un domestique de me conduire dans le bureau de son mari, ensuite, elle tourna les talons.

" Veuillez me suivre, Madame. me dit le domestique en m'indiquant le chemin. "

Je pénétrai donc dans la grande demeure des Ristori ; ce fut comme un léger retour en arrière. Le palais n'avait pas changé. Les murs étaient toujours aussi joyeux et l'on avait envie de se mettre à courir dans la proriété. Je suivis donc le majordome tout en m'émerveillant à nouveau du décor.

" C'est ici, s'exclama le vieil homme en me tirant de ma nostalogie. Monsieur le Comte n'est pas disponible pour l'instant, mais il arrivera dès que son emploie du temps le permettra. Vous pouvez prendre un fauteuil et pentientez quelques instants.

- Merci, répondis-je. "

J'entrai immédiatement dans la pièce et m'assis dans un fauteuil, près d'une fenetre. Les rideaux étaient tirés. Le soleil innondait l'endroit. Je me sentais bien. Je croisai les jmabes sous ma robe, et me mit à attendre l'arrivée du Comte.




P.S: Je recommence un nouveau poste à l'intérieur de la demeure ?