devant la porte

Marilena se trouvait devant la porte de la bibliothèque, elle respira profondément avant de frapper, elle ne voulait pas se montrer indiscrète mais elle devait voir quelqu'un, elle avit entendu la conversation de Lucrèce Avec Marguerite et Mathilde et elle voulait prévenir Fabrice et Anna qu'elle complotait quelque chose, même si elle ne savait pas quoi...

La porte s'ouvrit sur une jeune femme brune, elle n'avait pas l'air d'une domestique, plutôt d'une dame de compagnie...
- Bonjour, je suis la Duchesse Marilena Estrella et je voudrais voir le Comte Fabrice Ristori ou bien La MarquiseAnna...

La jeune femme s'effaca pour la laisser entrer et elle se trouva face à Ellisa et Anna....

Elisa entendit quelqu'un s'approcher de la porte. Elle tourna le regard vers le pas de porte et vît Marilena. Quelle surprise de voir qu'elle va beaucoup mieux, elle se dit que le mal était passé et qu'elle allé pouvoir se détendre un peu avant d'aller voir son amie.

"Entrez chère Duchesse, c'est un réel plaisir de constater que vous être sur pieds, saine et sauve, nous avons eu tous trés peur.
Je vous en prie, venez prendre une tasse de thé avec nous.

"Bianca, peux-tu apporter une tasse de thé à notre hôte?"

" Vous avez meilleure mine et le Docteur Ceppi, le meilleur médecin de Rivombrosa, m'a ssuré que vous étiez sortie d'affaire. Je vous laisse reprendre vos forces et je serai ravie de faire votre connaissance. Je suis désolé, la journée a trés mal commencée et je risque d'être trés occupée, mais vous êtes la bienvenue, restez autant de temps que vous le voudrez et j'espère vous avoir à diner ce soir, où nous aurons davantage de temps pour discuter.
Mais avant cela, reposez-vous, vous venez de subir un traumatisme sérieux et vous vous devez de vous ménager."

Elisa se dit que la journée venait seulement de commencer et qu'elle n'était pas au bout de ses peines, et qu'il fallait encore aller rendre visite à son amie.
Ellle n'a même pas vu son mair aujourd'hui, ni Martin t Emilie et n'a même pas pû terminer sa conversation avec sa belle-soeur.
Enfin, elle se dit qu'il faut traiter le plus urgent aujourd'hui et remettre à demain le reste.
Fort heureusement, Marilena alla beaucoup mieux.


Maintemant, elle retourna auprés de son amie Céleste.

Antoine frappa à la porte de la bibliothèque et entra afin de saluer Elisa et Anna.
Cette chère Anna, elle était de plus en plus radieuse depuis qu'elle s'était séparée de son époux, il lui semblait que son coeur battait à tout rompre quand il la voyait....
- Chères amies, je dois vous laisser pour aller voir des patients, mais je voulait d'abord m'assurer que vous étiez en sécurité, Fabrice est-il revenu?"

Elisa était heureuse d'être intime avec le trés cher Dr Ceppi, il est bon d'avoir un ami comme ça.
Elle vit dans la façon dont il regarda Anna et ne pût s'empêcher de penser qu'il s'était passé quelque chose entre eux autrefois. C'est d'ailleurs un sujet qu'elle devra de nouveau aborder avec sa belle-soeur.

"Antoine, je ne sais comment te remrcier pour tes loyaux services, je sais que c'est taprofession, mais tu es disponible comme personne. Si tu n'avais pas été là, je ne sais pas comment nous aurions fait pour Marilena, les autres médecins ne te valent pas.
Tu voulais voir Fabrice? Tu n'es pas le seul figure toi, je ne l'ai pas vu de la journée. Je vais le faire appeler, attend-le et prends donc un rafraichissement."

"Bianca, s'il te plais, apporte quelque chose à Antoine et demande à Fabrice de nous rejoindre dans la bibliothèque."

C'est vrai qu'Elisa n'avait pas vu son époux de la journée, il lui manquait beaucoup, ils ne sont plus habitués à passer aussi peu de temps ensemble. Elisa espère pouvoir passer une soirée calme avec son époux.

Fabrice arriva enfin à Rivombrosa, il avait hâte de retrouver son épouse et son fils, il avait réellment besoin de les retrouver, mais il était loin d'imaginer tout le remue-ménage qui avait eu lieu durant son abscence. La visite malvenue de Lucrèce, le malaise de Marilena...

Il se demanda pourquoi son épouse l'avait fait appeler, peut-être était-ce sans doute, pour passer un peu de temps avec elle?!
Il s'empressa alors de l'a rejoindre dans la bibliothèque.

Il arriva devant la porte et vît un nuage de mmonde; son épouse, sa soeur, Antoine, Céleste et une autre jeune femme qui ne reconnaissa pas tout de suite.
En voyant Antoine, il ne pût s'empêcher de penser qu'il était arrivé quelque chose à Elisa ou peut-être été-ce sa mère?!

"Mes salutations mes amis! Pardonnez-moi de m'être fait attendre, j'étais au village, la récomlte n'est pas fameuse ces derniers temps et je dois soutenir nos paysans.

Antoine, que fais-tu là, quelqu'un est malade? C'est toi Elisa, un problème avec le bébé? Mais que se passe t-il, vous me cachez quelque chose?! Est-ce ma mère qui a encore fait un malaise?

Et toi Céleste, tout vas bien, que nous vaut l'honneur de ta visite?

Et vous Madame, qui êtes-vous? Je n'ai pas l'honneur de vous connaître?"

Fabrice était vraiment intrigué par cette réunion et affolé. Il imagina le pire.

"Où est Martin?"

Fabrice attendait patiament les réponses de chacuns.

(P.S. : peu importe qui répondra le 1er, vu que j'ai interrogé tout le monde)

hj : interrogé tout le monde sauf moi

Anna avec se remue ménage ne savait plus ou donné de la tête. Elle s'était faite très discrète jusqu'à l'arrivée de la Duchesse Marilena et d'Antoine. En fait, elle ne savait pas de quoi il était question. Avait-elle l'esprit tellement ailleurs qu'elle n'était plus capable de suivre les évènements et conversation d'une journée. Elle préféra ne rien dire pour ne point gêner sa belle-soeur et lui laissa la tâche d'inviter les personnes présentent. Certes, elle n'avait pas vraiment apprécié l'attitude de Céleste à son égard mais elle ne dit rien. Chose qui montrait bien que la Marquise Radicati avait changé. Elisa invita son amie en venir prendre le thé en leur compagnie. Anna lui sourit et l'invita à s'asseoir auprès d'elle.

« Très Chère Duchesse, je suis ravie de vous revoir. Vous avez l'air en pleine forme depuis notre promenade au marché. Je dois aussi vous dire merci pour l'attention que vous nous avez porté. Mais dites-moi Madame, vous désiriez me voir ? Que se passe-t-il ? »

A peine avait-elle prononcé ses mots qu'on toqua à la porte. Le Docteur Ceppi fit alors son apparition. Anna le suivit du regard et le salua d'un signe de tête. Encore une fois, Elisa fut plus prompte qu'elle à réagir. La Marquise se faisait-elle si vielle ? Mais non il ne fallait pas penser cela. En réalité, elle était encore déboussolée par tout ce qui se passait dans sa vie et avait bien du mal à remettre ses idées en place. Elle se sentit légèrement mal à l'aise lorsqu'elle remarqua le regard que le Docteur lui lança. Elle détourna les yeux trop gênée reportant son attention sur la Duchesse Estrella. Bien évidemment, il semblait qu'aujourd'hui sa belle-soeur avait décidé d'inviter tout le village. Enfin était-ce la présence du Docteur Ceppi qui la gênait ? Après tout c'était vers chez lui qu'elle s'était rendue hier. Mais hélas, elle ne l'avait point vu. Par chance, personne n'avait remarqué sa présence. Elle fit un effort considérable et se retourna vers Antoine. Elle lui adressa un doux sourire et ajouta :

« Très cher Docteur, comme vient de vous le proposer, prenez donc un rafraîchissement en notre compagnie, en attendant Fabrice. Il ne devrait point tarder, du moins je l'espère. »

Comme si on parlait du loup, à l'instant, Fabrice Ristori fit son apparition dans la bibliothèque. Son cher frère était toujours aussi beau et d'une élégance incroyable. Si il n'avait pas été son frère, elle l'aurait épousé. Mais à la réaction précipité de son frère devant tout ce monde, Anna ne put s'empêcher de rire. Étrangement, elle se sentit bien. Son frère, en l'espace de quelques secondes avait réussi à lui ôter le poids qui pesait sur ses épaules. Elle se leva enfin, et répondit :

- « Voyons, Fabrice calme toi. Laisses donc le temps au Docteur Ceppi de répondre à tes questions. Et pour ta gouverne la Dame qui se trouve auprès de moi, est la Duchesse Estrella. Une grande amie à mère !! Qui se porte comme un charme, n'est-ce pas Docteur ? » dit-elle en regarda Ceppi.

Antoine se retourna vers Anna pour répondre à sa question:
-" Comme vous le constatez très chère Marquise la Duchesse Estrella se porte bien mais il faudrait tout de même qu'elle fasse attantion, son malaise n'est pas anodin, peut-être trop de surmenage..."

Antoine ne montrait rien mais il était furieux de voir la façon qu'avait Anna de lui parler, elle ne voulait même pas l'appeler par son prénom, il n'en pouvait plus de cette situation, il aurait voulu la prendre dans ses bars mais les convenances l'en empêchait....

Il se tourne vers Fabrice
-" Mon ami, quel plaisir de te voir, je suis soulagé que tu sois revenu car La Marquise Van Necker est dans vos murs et je ne voulais pas laisser ces jeunes femmes seules même si je sais que certaines savent parfaitement se défendre, n'est ce pas Elisa ?...."

Marilena s'apprêtait à répondre à la Marquise quand Fabrice fit son apparition avec grand fracas dans la pièce; mon dieu il n'avait pas changé, de plus en plus beau avec le temps.....
Elle était tout de même quelque peu vexée qu'il ne la reconnaisse pas mai elle avait sans doute changé depuis les années qu'ils ne s'étaient vus...
Elle se tourna vers Anna:
-"Merci chère Anna, je me sens mieux, ce n'était qu'un petit malaise causé par toutes ces émotions... En ce qui concerne notre conversation au marché ne me remerciez pas, il est normal d'aider une amie de longue date. Je voulais vous entrenir de la présence de Lucrèce dans votre chateau, j'ai voulu l'empêcher de parvenir jusqu'à vous mais mon malaise ne m'en a pas laissé le temps, il faut la retrouver, je l'ai supprise près de la rivière en revenant du marché et elle avait l'air très décidée à vous faire part de quelque chose...."

Elisa était heureuse de voir enfin son époux, il allait enfin pouvoir se charger de chasser Lucrèce et de protéger la famille.

Elisa acquiesa aux dires d'Antoine.

"Oui tout à fais Antoine, jamais je l'a laisserai en paix. Elle n'arien à faire chez nous, et elle ne l'aura jamais belle avec moi, sois en rassurée."

" Fabrice, enfin te voilà, nous commencions à se demander ce qu'il avait pû t'arriver. Comme te l'a dis Antoine, Lucréce s'est introduite chez nous et il y a des chances qu'elle soit encore ici. Bianca, pense avoir vu quelqu'un cacher derrièr le rideau dans la salle de bal. Avec Anna, nous nous apprétions à nous y rendre. Tu viens avec nous?!"

Elisa ne craignais pas Lucréce, mais elle savait pertinament, qu'elle avait plus d'un tour dans son sac, et qu'elle pouvait être trés dangereuse. Elle a déjà tué et serait certainement prête à le refaire. Alors accompagnée de Fabrice, l'a voilà plus rassurée.

Fabrice était rassuré de constater que ses proches n'avaient rien. Il avait eu trés peur de voir Ceppi et tout ce monde dans la bibliothèque. Malheureusement, la vie à Rivombrosa n'est jamais paisible. Quel contrariété d'apprendre que Lucrèce s'était introduite dans le château et avait apeuré tous les siens.

Il en revînt pas de ne pas avoir reconnu une amie d'enfance, Marilena, il vait beaucoup jouait ensemble étant enfants. Il était heureux qu'elle soit leur invitée, même si, la pauvre, était arrivée, dans de mauvaises circonstances. Il espèrait que tout rentrerait dans l'odre dés ce soir pour passer un excellent repas parmis les siens et pour passer du temps avec son épouse.

"Me voilà rassuré de voir que tout le monde va bien. Marilena, je suis heureuse de votre visite. Cela fait si longtemps!!! J'espère avoir le temps de discuter avec vous plus tard. Je suppose que vous avez déjà fait la connaissance de mon épouse! Je suis vraiment désolé de vous accueillir dans ces circonstances. J'espère que vous n'êtes pas pressée et que vous compter restée plusieurs jours ici. Ce serait un plaisir."

"Antoine merci d'être toujours trés disponible envers ma famille. Je te dois enormément tu sais. Reste ce soir pour le dîner avec nous, je serai ravi d'avoir du temps pour discuter avec toi."

"Elisa, ma chère Elisa, je ne crois pas que ce soit une bonne idée que tu aille si Lucrèce est dans la maison, maintenant que je suis là, c'est à moi de le faire. Mais je sais que tu ne m'écoutera pas, et que tu ira malgré moi, alors allez-y, mais je vous accompagne."

Fabrice aimerait parfois que son épouse soit moins entêtée, même si il aime beaucoup son côté têtue, mais, son entêtement lui a parfois était fatal, comme l'a fois où elle a perdu son enfant car elle ne l'avait pas écouté.
Elle croit toujours qu'elle est capable de tout, il est vrai qu'elle est capable d'enormément de chose, mais pas de lutter contre un homme. Heureusement que sa soeur Anna, était souvent avec elle, il en était rassuré, il sait que sa soeur est trés vigilente et d'une trés bonne influence sur Elisa.

"Allons-y"
Fabrice parta devant son épouse et sa femme.

Anna écouta attentivement Antoine qui lui répondait. Elle ne montra rien et mais n'en pensa pas moins. Comment la Duchesse pouvait-elle avoir trop de surmenage ? Lui cachait-elle quelques choses ? Elle se dit qu'elle allait devoir la questionner. Elle lui adressa un sourire et hocha légèrement de la tête.

- « Vous avez certainement Raison, Docteur... »

Même si elle mourrait d'envie de l'appeler par son prénom, elle se retenait. Il était possible qu'elle blessa le jeune homme mais elle ne voulait pas montrer ce qu'elle pouvait ressentir et encore moins devant sa famille. Parfois, elle pouvait être idiote alors qu'elle pourrait simplement être heureuse. Mais il ne fallait pas oublier qu'elle était toujours mariée avec le Marquis Radicati. Elle ne voulait surtout pas que sa mère apprenne que son coeur était pour un autre. Après tout, La Comtesse Agnès Ristori pensait simplement qu'elle était venu passer un peu de temps avec sa fille, loin de Turin. Elle se tourna vivement vers son amie et lui sourit puis ajouta.

« Je vous remercie de votre sollicitude et j'espère que vous nous ferez le plaisir de dîner avec nous ce soir. Mère, devrait en être enchantée. Si vous le désirez vous pouvez lui rendre une petite visite, elle en serait ravie. Elle n'a pas arrêté de parler de vous, depuis que je lui ai dis vous avoir croiser au marché. A moins que notre cher ami, le Docteur Ceppi, nous interdise toute visite ? » dit-elle en se retournant de nouveau vers Antoine.

En réponse à la remarque de la Duchesse Estrella, Antoine confirma que la Marquise Van Necker se trouvait dans la place. Anna observa aussitôt son frère et sa belle-soeur. Cette femme ne pourrait-elle pas les laissé tranquille. Pourquoi s'acharnait-elle de la sorte sur eux deux. C'était incompréhensible. Aimait-elle donc Fabrice à ce point ? Certainement pas, elle n'aurait pu lui faire autant de mal, si cela avait été le cas. La marquise aurait bien aimé accompagné sa belle-soeur, mais elle ne pouvait décemment pas laisser son amie, seule de la sorte dans la bibliothèque et surtout en présence de Céleste. Rien que dit penser elle en avait la nausée. Elle observa un instant Antoine. Elle aurait aimé qu'ils les accompagne à la recherche de cette tigresse. A moins qu'Angelo ne vienne. Tient c'était tout de même étrange, Bianca ne l'avait-elle donc pas prévenu. Peut-être que le jeune homme se trouvait dans les vignes.

« Si cela ne vous dérange, pas, je ne vais point vous accompagner. Il serait préférable que quelqu'un reste auprès de cette chère Marilena. Mais peut-être que le Docteur Ceppi .... ? »

Elle ne termina pas sa phrase, laissant l'idée en suspens. Elle ne voulait point lui forcer la main.

« Mais peut-être que vous avez des patient à voir ? Je ne voudrai pas vous retarder ! »

Aux remarques de son frère, Anna se dit : « Pauvre Fabrice !! Ne sais-tu donc pas que notre chère Marilena connaissait déjà Elisa avant toi ! Tu t'es absenté si longtemps. » Sur ce, Anna ne put s'empêcher de se mordre la lèvre inférieure, elle avait envie de pouffer. Les convenances empêchaient bien des choses et il fallait toujours faire bonne figure. Cependant l'invitation de son frère pour Antoine, lui fit très plaisir. Même s'ils ne pouvaient pas être ensemble, elle pourrait passer un peu de temps avec lui, à bonne distance bien sur. A peine eut-il finit de parler, qu'Anna resta en retrait. Elle attendit tout en regardant Antoine.

Antoine ne savait plus que faire, il ne souhaitait pas laisser Fabrice aller seule affronter la marquise, même si il était capable de se défendre seul mais il aurait tellement voulu passer plus de temps avec Anna. D'un autre côté Anna n'était pas seule, la Duchesse Estrella était à ses côté, il ne pourrait donc pas lui parler comme il le souhaitait.
Il se tourna vers Fabrice:
- Veux tu que je t'accompagne, Lucrèce n'est pas si dangereuse mais il serait peut-être plus simple de la trouver à plusieurs, qui sait si elle n'a pas quitté la salle de bal?"

Marilena observait ce qui se passait autour d'elle ainsi que les personnes qui se trouvaient dans la pièce.
Sans aucun doute Fabrice et Elisa étaient fous amoureux l'un de l'autre, ils étaient touchants dans leurs gestes et leurs mots....
Quand au Docteur Ceppi et à la Marquise Ristori, on aurait dit qu'ils étaient seuls au monde, l'attirance entre eux était indéniable, mais le savaient-ils seulement?
Une autre jeune femme avait attiré son attention, il s'agissait de la jeune femme brune qui lui avait ouvert la porte, Céleste. Elle avait l'air proche d'Elisa mais il lui avait semblé qu'Anna ne la portait pas dans son coeur; elle lui adresse un sourire tout en se demandant si elle n'était pas la jeune bohémienne qu'elle avait un jour entrevue sur le marché.....

Marilena se retourna vers Anna qui venait de lui parler:
- Je serais ravie de revoir votre mère, il y a tellemement longtemps, mais je ne voudrait en rien la fatiguer...."

Fabrice espérait que son ami Antoine accepte son invitation à dîner, il attendit sa réponse avec impatience.
Il se dit aussi, qu'il avait bien raison, qu'il serait préférable d'être accompagnée d'un autre homme car on ne sait jamais avec cette vipère. Si elle me blesse (proprment parlant), qui protégera son épouse.

"Antoine, c'est gentil à toi e me proposer de m'accompagner et j'accepte volontiers."

"Elisa, ma chérie, je sais que tu veux nous accompagner, mais il est plus prudent que tu ne vienne pas, je n'ai pas envie qu'il t'arrive encore quelque chose. N'oublies pas que tu portes notre enfant alors ménage toi et repose toi un peu. Prends du bon temps et laisse moi m'occuper de tout."

"Marilena, oh combien ma mère va être heuseuse de vous revoir, je vous préviens, elle est trés émotive alors de vous revoir, elle va en pleurer de joie. Merci Anna, je te confie Elisa."
Fabrice savait qu'Elisa était têtue et qu'elle ne l'écouterait pas comme par habitude, mais là, le fait qu'elle est perdue leur enfant, l'avait un peu calmé et pour une fois, elle avait l'air d'accord avec lui, et se résilie à ne pas l'accompagner. Elle prenanit toujours le côté protecteur de Fabrice comme un côté autoriataire, mais c'était pourtant bel et bien, de la protection.

"Allons-y Antoine"

Marilena regarda Fabrice et Antoine sortir de la pièce et se tourna vers Elisa et Anna. Elle voyait de l'inquiétude sur leurs visages et elle ne savait pas comment les rassurer...
Elle se demandait si elle devait rester au chateau, ses amis avaient tellement de choses à régler qu'elle ne voulait pas les déranger et elle ne voulait surtout pas fatiguer Elisa dans son état....
- Chères amies, je vous suis reconnaissante d'avoir pris soin de moi et je m'excuse de tous les soucis que j'ai pu vous causer, je ne voudrais pas vous déranger plus que de raison, je pense que vous avez fort à faire avec tous ces évènements....
Ma chère Anna, croyez vous que je puisse voir votre mère ou préférez vous qu'on reporte cela à plus tard?

Elisa était navrée de recevoir Marilena dans ces conditions. Elle veut absolument l'a connaître davantage. Elle veut tout connaître de Fabrice et de sa famille, y compris leurs amis. Elle souhaiterai vivement que Marilena dîne et séjourne à Rivombrosa. Elle était plus que la bienvenue.

"Je vous en prie Marilena, c'est bien normal. Mais j'insiste pour que vous restiez au moins dîner ce soir avec nous. Fabrice serait tellement content, je serai contente moi aussi et Anna aussi, n'est-ce pas Anna? Vous êtes la bienvenue, nous sommes ravie que vous soyez venue nous rendre visite même si il est vrai que nous sommes soucieux pas la venue fortuite de Lucrèce, je suis certaine que le problème est déjà règlé et que nous pouvons être tranquille. Restez, je vous en prie."

Elisa espéra vivement que Marilena accepte de rester plus longtemps. Dans l'attente, elle compta sur Anna, pour dissuader Marilena de 'en aller maintenant.

"Anna, dis-lui qu'elle est la bienvenue et que nous serions heureuses si elle restait plus longtemps."

Anna fut soulager de constater qu'Antoine allait accompagner son frère. Même si une femme contre deux hommes ne pouvaient rien faire, elle se méfiait beaucoup de Lucrèce. Cette femme était une vipère qui avait plus d'un tour dans son sac. Elle sourit légèrement à Antoine pour le remercier mais évita de le regarder davantage. Elle ne voulait pas trop donner l'impression qu'elle n'avait d'yeux que pour lui. Anna reporta son attention sur la Duchesse Estrella. Il semblait qu'aujourd'hui il est beaucoup de visite dans cette demeure. Tant mieux cela égayait le quotidien. Anna avait complètement oublié qu'il y avait Céleste à leur coté. Il était vrai que la Marquise ne l'appréciait pas du tout. Elle ne savait pas pourquoi, mais il y avait quelques choses en elle qui dérangeait fortement Anna. La Marquise n'entendit pas tout de suite la requête de la Duchesse Estrella, tellement qu'elle était absorbée par ses pensées. Fabrice ne laissa que peut de temps à Anna pour réagir. Qu'il sortait déjà en compagnie d'Antoine pour se rendre dans la salle de bal. L'espace d'un instant, elle les observa inquiète. Mais les dernières paroles de Fabrice lui firent prendre conscience qu'elle devait surveiller Elisa. Elle était parfaitement capable de s'éclipser et de rejoindre son amour. Encore une fois, Elisa fut plus prompte à répondre qu'Anna. Il semblait que la jeune Marquise est beaucoup de mal à réagir rapidement. Elle fixait toujours la porte de la bibliothèque, s'imaginant revoir les deux jeunes hommes revenir. Mais hélas se ne fut pas le cas. Elle sortit de sa rêverie lorsqu'elle se rendit compte qu'Elisa insistait sur un point. Anna la regarda légèrement déboussolée mais reprit rapidement le cour de la conversation.

- « Veuillez m'excuser, je crois bien que j'étais dans les nuages » dit-elle en souriant timidement. « Mais sachez mon amie que vous êtes la bienvenue, que cela nous ferait vraiment plaisir que vous restiez dîner au plus grand plaisir de mère, mais aussi de nous. Étant donné que le Docteur Ceppi n'a émit aucune objection concernant l'état de santé de mère, je pense que nous pouvons lui rendre une petite visite. Elisa tu nous accompagnes, bien sur ? »

Anna disait cela, mais cela ressemblait plus à une affirmation qu'à une question. Sur ce elle se dirigea vers la porte et l'ouvrit. Tout en souriant à ses amies, elle les guida jusqu'aux appartements de sa mère.

Elisa commença à trouver le temps long, elle se demanda si son époux et son ami étaient en bonne posture. "J'espère qu'elle ne leur a pas joué de pièges cette garce" se dit-elle en parlant de Lucrèce. Elle était tentée d'aller rejoindre son époux, mais elle lui avait promis de l'écouter et pour une fois, faire ce qui était sage, elle décida donc d'accompagner sa belle-soeur et son amie, rendre visite à sa belle-mère. C'était la plus sage décision. Ensuite, il faudra qu'elle essaye de rendre visite à son amie Marguerite, enfin si elle en trouve le temps aujourd'hui.

" Biensûr ma chère Anna, je vous accompagne volontiers. Je serai plus tentée d'aller voir si Fabrice et Antoine arrive à se dépaitre de la sorcière, mais j'ai promis à Fabrice de l'écouter et de ne pas être têtue, alors je tiens ma parole.
Je vous accompagne et ensuite, si le temps me le permets, j'irai rendre visite à mon amie Marguerite Mafféî."

Elisa aimait être en compagnie de sa belle-soeur, et considérait leur complicité come un joyau. Elle savait aussi que ce sentiment était réciproque.

"Je vous suis"